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INTRODUCTION A OPENEW SOUS FORME D'INTERVIEW



J.L. : – Pourquoi avez-vous défini ce catalogue de formations OPENEW et pas un autre ?
E.D. : – Il y a au moins deux raisons à cela. La première est qu'il y a trop d'échecs dans la création d'entreprise, ce qui occasionne beaucoup de pertes et d'amertume pour les intéressés...
 
J.L. : – Ces échecs tiennent à quoi ?
E.D. : – Les créateurs d’entreprise ne sont généralement pas formés à l’administration de l’activité et cette discipline est assez complexe. On les laisse démarrer sans aucune base sérieuse.
Ils ont parfois une certaine expérience dans un domaine ou juste une bonne idée de départ… Le problème, c’est qu’ils ne sont pas habitués à gérer l’ensemble des fonctions d’une entreprise. Il faut savoir produire, savoir vendre et savoir gérer. Ces trois fonctions sont incontournables.
 
J.L. : – Ces créateurs se plantent à chaque fois ?
E.D. : – Non, malgré les difficultés, certains sont assez doués ou aidés pour s’en sortir. Mais pour la majorité, le démarrage est très pénible. Ils vont gaspiller leurs économies et s’épuiser physiquement et nerveusement. Ils vont perdre le contact avec leurs proches, etc. Ils consacrent trop de temps à des choses de peu de valeur – parce que c’est facile pour eux, et ils passent à côté des fonctions essentielles.
La réussite économique ça n'a rien de naturel, ça s'apprend.
Sinon, on ne l'atteint pas ;
 
J.L. : – Il y en a pourtant qui réussissent...
E.D. : – Ce sont les exceptions qui confirment la règle.
Si vous pensez être exceptionnel, tout va bien...
 
J.L. : – Mais s’ils sont seuls, comment faire autrement ?
E.D. : – C’est la première erreur ! Il ne faut pas rester seul. L’isolement est un facteur d’échec. Il faut savoir économiser son temps et son énergie et les utiliser à bon escient. On doit garder du temps pour ses relations familiales et amicales. On doit élargir son cercle amical avec des relations professionnelles. On a tous besoin de partenaires et la confiance est indispensable aux relations d’affaires. Il faut du temps pour cela.
 
J.L. : – Est-ce que tout le monde est doué pour ça ?
E.D. : –

Qui pratique le self-management ? C’est une fonction essentielle pour comprendre qu’il faut économiser son temps et ses forces.

Qui maîtrise les techniques de gestion d’entreprise ? C’est également indispensable pour dimensionner les investissements face aux enjeux. Notre éducation de base ne permet pas cela. Il faut suivre des formations spécifiques pour maîtriser tout cela.

 
J.L. : – Quelle est l’autre raison ?
E.D. : – Devant les pertes importantes occasionnées par les échecs des créateurs d’entreprises, au démarrage, c’est-à-dire dans les trois premières années, les instances gouvernementales ont compris qu’il y avait un trop grand écart entre la complexité du monde économique et le niveau d’éducation des entrepreneurs dans ce domaine. Un très bon technicien ne fera pas forcément un bon entrepreneur. Beaucoup ignorent les techniques de vente, les règles de gestion.
 
J.L. : – Comment arrivent-ils à échouer ?
E.D. : – Un bon technicien connaît son domaine et il peut être convaincant au niveau de la qualité de ce qu’il produit. Il trouvera preneur pour ses produits ou ses services. Mais quand il s’agira d’augmenter les volumes, d’encaisser ses factures, quand il s’agira de ventiler une partie de son chiffre d’affaires sur ses obligations sociales, fiscales, gérer sa trésorerie... il ne saura pas forcément faire. Il perdra du temps, il payera des pénalités pour les retards etc. Son activité va devenir anxiogène. C’est mal parti.
 
J.L. : – Quelles sont les directives gouvernementales dans ce domaine ?
E.D. : – Il faut comprendre que tout le monde a intérêt à ce que les entreprises réussissent. Les entrepreneurs et leurs familles, leurs clients, les organismes sociaux, le gouvernement, la société en général, n’ont aucun intérêt à voir des entrepreneurs s’épuiser et faire faillite. Une entreprise qui marche bien crée des emplois et beaucoup de satisfactions. L’entrepreneur développe ainsi un patrimoine qui va lui permettre de vivre mieux après sa retraite...
 
J.L. : – Le gouvernement a légiféré pour cela ?
E.D. : – Oui, parfaitement. Les différentes instances économiques ont compris ces difficultés et organisé des crédits plus faciles d’accès, à taux zéro, avec des garanties. Elles ont mis en place les Comptes Personnels de Formation, accessibles à tout le monde : salariés, chômeurs, entrepreneurs, femmes au foyer, etc. Cela a pris trop de temps, c’est vrai, mais déjà plusieurs milliers de personnes en ont profité. Donc, c’est en place et opérationnel.
 
J.L. : – Quelles sont vos sources ?
E.D. : – Il faut voir sur le site gouvernemental https://www.legifrance.gouv.fr tout ce qui se rapporte à la formation tout au long de la vie. Et, plus récemment, le décret N°2020-1228 du 8 octobre 2020 sur les conditions d’éligibilité au Compte Personnel de Formation des actions de formation dispensées aux créateurs ou repreneurs d’entreprise. Openew s’inscrit dans ce cadre.
 
J.L. : – Alors, pourquoi tant de personnes sans emploi hésitent à entreprendre ?
E.D. : –

C’est compréhensible. Les gens sont prudents, ils n’osent pas s’engager sur un terrain inconnu. Pour acquérir de la confiance et aller de l’avant, il leur faut une meilleure visibilité. C’est à cela que servent les formations. Quand on a pris le temps d’explorer plus à fond un domaine, de connaître des méthodes de travail qui facilitent la progression des entreprises, de savoir faire la différence entre le marketing et le commercial, on voit mieux où l’on va. On peut faire les premier pas. Sinon, il vaut mieux s’abstenir.
Quand on a découvert tous ces éléments on peut s’en servir. Avec de la pratique, on en fait des outils parfaitement maîtrisés.

 
J.L. : – Donc, ça va prendre du temps...
E.D. : – Oui, mais pas tant que ça. Nous ne sommes plus dans le domaine scolaire. C’est plus rapide. La formation professionnelle utilise des démarches pédagogiques différentes. On forme des adultes, des personnes qui veulent acquérir de l’autonomie, qui ont besoin de réussir vite et bien...Ce n’est pas la même chose.
 
J.L. : – Pourquoi ce n’est pas la même sichose ?
E.D. : – Leur motivation est plus forte. Ils sont plus matures, ils comprennent les enjeux. Si on leur donne des informations utiles, ils sauront mieux s’en servir. L’intelligence des affaires ça s’acquiert très rapidement.
 
J.L. : – À quoi cela tient ?
E.D. : – Leur entreprise est leur laboratoire. Dès qu’ils ont appris quelque chose, ils ont envie de l’expérimenter. Dans un laboratoire, un échec est une chose normale, ça fait partie du parcours de formation. La plupart du temps, ça marche. S’ils échouent, ils comprennent vite pour quelle raison et ils corrigent. S’ils ont innové, ils progressent face à la concurrence. Les personnes formées se sont enrichies de nouvelles compétences. Elles se sentent plus en phase avec la réalité, plus intelligentes. Voilà la différence.

Avant la formation, elles ont souvent des connaissances parcellaires. Cela ne leur suffit pas pour aller de l'avant. Elles ont peur d'échouer.
Au cours de la formation, les participants vérifient que leurs connaissances sont valides. Ils les replacent dans un contexte économique bien identifié, plus large. Le formateur valide et complète pour faire la connexion avec d'autres savoirs.
 
J.L. : – et ça, c’est une nouvelle forme de pédagogie ?
E.D. : – Exactement. on appelle ça la Pédagogie de la Réussite. Elle est parfaitement adaptée à la situation des créateurs d’entreprise. Même si elle avait un autre nom, Openew fait de l’ingénierie pédagogique auprès des adultes depuis longtemps. Cela fait plus de 25 ans qu’elle s’est spécialisée dans les pratiques entrepreneuriales.
 
J.L. : – Et comment concilier le temps nécessaire à son entreprise et celui nécessaire à sa formation ?
E.D. : –

Le principe de formation tout au long de sa vie est entré dans les mœurs depuis déjà quelques décennies. À cause des innovations technologiques, la situation économique évolue sans arrêt. Pour avoir un emploi, il faut faire progresser ses compétences.

Cela concerne également les chefs d’entreprise. On ne peut pas gérer une activité avec des connaissances trop limitées ou dépassées. Pour devenir et rester performant, il faut muscler ses compétences. Voilà la vocation de la formation permanente. En approfondissant ses capacités, on devient un meilleur technicien. En élargissant ses compétences, on devient chef d’entreprise. Chacun choisit sa voie.

 
J.L. : – Quel est le prix d’une journée de formation ?
E.D. : – Cela commence à 400 € hors-taxes
 
J.L. : – Mais c’est horriblement cher !
E.D. : – C’est plus cher qu’une baguette de pain, mais ça n’a pas le même poids. Une faillite d’entreprise coûte infiniment plus cher. « Il faut payer à sa juste valeur un savoir qui vaut de l’or. »
 
J.L. : – Et comment financer ça ?
E.D. : – L’État finance votre formation. Commencez par utiliser votre crédit CPF, il est fait pour ça. Votre formation ne vous coûtera que si vous ne vous en servez pas.
 
J.L. : – Et si mon CPF ne suffit pas ? ...
E.D. : – Vous aurez au moins compris à quel point la formation est un levier puissant pour faire progresser votre situation. C’est le meilleur investissement possible. Avec quelques jours de formation, certaines personnes sont devenues très riches…
 
J.L. : – La formation nous enrichit ?
E.D. : – Intellectuellement, socialement et financièrement : oui ! Chacun choisit son destin. « On est plus séduisant quand on est intelligent, facile d’accès en société et riche. »
 
J.L. : – Si je ne suis pas encore à l’aise avec tout ça et que je veux commencer avec une micro-entreprise… ?
E.D. : –

C’est une excellente idée. L’auto-entreprise (ou micro-entreprise comme on dit désormais) est un statut professionnel tout à fait valable et sans engagement pénalisant. Ce statut vous permet de démarrer, de vérifier votre modèle économique, votre marché, votre capacité à gérer votre activité… Vous pouvez corriger en cours de route, il y a beaucoup de tolérance. Si vous vous plantez, il n’y aura pas de grave conséquence. C’est votre laboratoire économique.
Si vous réussissez, tout vous est ouvert….mais si vous dépassez le chiffre d’affaires maximum accordé au cadre de la micro-entreprise, vous devrez changer de statut. Vous vous trouverez à ce moment-là dans l’obligation de gérer comme n’importe quelle entreprise, il vous mieux s’y être préparé.

 
J.L. : – Qu’est-ce qu’il faut faire pour commencer ?
E.D. : –
  1. Choisissez dans notre catalogue les modules qui vous intéressent.
    Il y a une logique de progressivité. Les 5 premiersmodules vous donnent les bases pour commencer, mais vous êtes libre de procéder autrement.
    Vous pouvez développer vos compétences en fonction de vos lacunes et de vos besoins.
  2. Interrogez votre conseiller professionnel pour connaître la valeur de votre CPF,
  3. Demandez à utiliser votre CPF pour financer les formations sichoisies,
  4. Contactez-nous. On vous aidera pour tout le reste.
J.L. : – Comment choisir un stage ?
E.D. : –
les stages sont ordonnés selon un système de domaines et de fonctions:

    Démarrer une activité


  1. CHOISIR UNE ACTIVITÉ QUI VOUS CORRESPOND /CHOIX-ACTI
  2. CRÉER SON ENTREPRISE / START-FD
  3. CONSTRUIRE SON MODÈLE ÉCONOMIQUE /START-BM
  4. ÉTABLIR SON BUSINESS PLAN /START-BP
  5. LA COMPTABILITE FINANCE POUR LES DÉBUTANTS /COMPTAFI-FD
  6. Manager son activité


  7. MANAGEMENT: LES FONDAMENTAUX / MNG-FD
  8. LE MANAGEMENT PAR OBJECTIFS /MNG-OBJ
  9. LA BUSINESS INTELLIGENCE OPÉRATIONNELLE / MNG-BIO
  10. ORGANISER DES RÉUNIONS EFFICACES / MNG-REUNION
  11. RESSOURCES HUMAINES - GPEC RH-GPEC
  12. LES CONTRATS ET LA RELATION CONTRACTUELLE RELCO-FD
  13. DÉPOSER SA MARQUE COMMERCIALE / MARQ
  14. LA COMMUNICATION PROFESSIONNELLE /COMM-FD
  15. LE SYSTÈME DE VEILLE ÉCONOMIQUE / VIG-FD
  16. INSTALLER ET EXPLOITER UN SYSTÈME DE VEILLE ÉCONOMIQUE /VIG-ACT
  17. Savoir vendre ses produits et services


  18. MARKETING : LES FONDAMENTAUX MKG-FD /
  19. DÉVELOPPER SON C.A. AVEC LES MARCHÉS PUBLICS MKG-MPAO /
  20. MAITRISER LES TECHNIQUES DE VENTE TECH-VENTE
  21. LA VENTE EN LIGNE AVEC LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE /ECOM-FD
  22. Des opportunités d'activité


  23. CRÉER VOTRE SITE DE COMMERCE ÉLECTRONIQUE /ECOM-ACT
  24. PHOTOS DE PRODUITS POUR LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE /PHOTO-ECOM
  25. DEVENIR PLASTIVORE PROFESSIONNEL /PLASTI-ACT

Etc.
 
OPENEW est un organisme de formation
enregistré sous NDA : 84691821769
en micro-entreprise dont le SIRET est:
338417 918 0079
contact@openew.org



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